Le coing, début réussi, merci Clea !
Le coing, je crois que j’en avais assez rarement mangé. Quelques rares fois dans des plats, très occasionnellement de la pâte de coing ou de la gelée. Jamais dans ma famille, jamais acheté. Mais Monsieur est très fan. Alors, quand j’ai vu le nouveau livre de Clea, je me suis précipitée pour l’acheter : de quoi nous faire plaisir à tous les deux : la rhubarbe pour moi, le coing pour lui. Comme on est ouverts et tolérants, on accepte aussi les préférences de l’autre ! Et les recettes de coing font saliver…
Je prévoyais donc de découvrir la cuisine du coing à l’automne d’ici quelques semaines. Et voilà que samedi, passant à l’Epicerie Générale, lieu chic et bio nouvellement installé tout près de mon cabinet (pour le possible malheur de mon portefeuille..), je vois des coings. Et aussi des petites poires Louis Bonne dont « Mingou Mango » avait parlé et des kiwaïs que je découvre avec gourmandise, c’est délicieux.
Emportée par mon élan, j’ai eu envie de préparer deux desserts différents, servis en petite quantité. N’ayant pas vraiment anticipé, j’ai choisi deux recettes réalisables avec les moyens du bord :
– un tout simple gâteau aux coings, recette du blog (j’ai à peu près suivi la recette, mais avec des petites variations d’ingrédients, de l’huile d’olive à la place de la margarine et un petit tiers de farine de sarrasin en complément de la farine de blé.
– des coings farcis au croustillant de noisettes, recette très appétissante du livre (croustillant avec noisettes, pâte de noisette, flocons de céréales…) (euh, résultat pas très photogénique !).
Les coings manquaient un peu de goût ou de mûrissement mais c’était globalement très bon et je compte bien multiplier les essais avec ce fruit. Merci à Clea pour les conseils d’épluchage, parfaits, et pour son inspirante gourmandise.
Qui a dit qu’il n’y avait que les fruits d’été ?!
Je suis ravie que ce livre vous ait fourni l’occasion de vous faire mutuellement plaisir, à tous les deux ! Et heureuse que ce premier contact avec le coing ait été aussi agréable. Tu as très bien choisi, le croustillant est une de mes recettes préférées. Je te conseille le gâteau au coing râpé ou le fondant à la pâte d’amande pour la prochaine fois… Il est bon d’attendre que les coings embaument vraiment pour les acheter, le résultat n’en sera que meilleur.
Merci pour ces idées, j’en étais restée à la gelée de coing, que j’adore mais que je rate trop souvent.
J’ai essayé la « farine » de sarrasin dans certains gâteaux, je suis un peu déçue du résultat, la pâte me semble plus lourde et plus sèche.
en tajine miam brigitte
Tiens, c’est vraiment drôle, j’ai ces trois fruits dans mon petit jardin: coings (bien sûr), poires Louise-bonne d’Avranche et kiwaïs! 😉
En tajine ou en tatin c’est vraiment excellent. Ta recette me donne envie d’adapter mon fondant aux châtaignes avec du coing (sinon je mets de la pomme, des myrtilles, des framboises, des poires, bref ce qui me tombe sous la main…). J’ai découvert en Alsacce l’eau de vie de coing qui est très chère parce que difficile à fabriquer (souvent les alambics explosent…) C’est merveilleux !
@Clea merci beaucoup de ces conseils supplémentaires, suite au prochain épisode !
@nathalie quand je mets de la farine de sarrasin, c’est 1/4 à 1/3 de la farine totale pas plus sinon manque de liant et un peu d’amertume
@brigitte oh oui, j’essaierai aussi en salé
@sylvain quelle jolie coïncidence et quelle chance !
@Frederique ah je sens que ma découverte du coing n’est pas prête de s’arrêter !
J’adore le coing en version salée, en accompagnement de gibier ou d’agneau. Et je fais presque chaque année deux grandes plaques de pâte de coing (j’ai un excellent robot, ça aide), c’est sublime !
@la semaine d’une gourmette ah la pâte de coing, Monsieur adorait, j’hésite à me lancer car je doute de pouvoir égaler ses souvenirs…
N’hésitez pas : si on a du matériel, ce n’est pas sorcier, et ça épate la galerie en plus 😉