Vive la saison des fraises ! (plaisir gourmand du 7 mai)
Enfin des fraises ! Quel bonheur de croquer dans des fraises sucrées et parfumées, de les retrouver après les avoir beaucoup attendues. Des fraises françaises de Dordogne qui n’ont besoin d’aucune parure, sucre ou autre. Un délice en soi. Et d’autant plus parce qu’elles étaient absentes pendant de longs mois. C’est le plaisir de respecter le rythme des saisons, de manger les aliments quand ils sont à leur meilleur et pas quand ils arrivent sans goût après avoir parcouru des milliers de kilomètres. Nul doute que je vais me régaler souvent de fraises dans les semaines à venir, avant de savourer pêches, abricots, …
NB : afin de vous encourager à prendre plaisir à manger le plus souvent possible, clé d’une relation sereine à la nourriture, je vous donne chaque jour un plaisir gourmand personnel. N’hésitez pas à poster un commentaire, donner vos propres plaisirs gourmands, faire une suggestion.
Bonjour Ariane,
Oui toutes ces couleurs, tous ces parfums c’est bien agréable je dois dire …
Mais comment choisir parmi toutes ces variétés ? Les plus parfumées ?
Avec les fraises on peut aussi être très déçu lorsqu’elles sont gorgées d’eau et peu sucrées.
Je suis rentrée de Bretagne le WE dernier et sur place je suis allée rencontrée des producteurs qui justement me disaient que c’est bien trop tôt encore. Que celles qu’on trouve sur les marchés ont été « forcées ».
Ne faudrait-il pas attendre encore un peu ?
Cela fait environ deux semaines que je savoure les guariguette de Plougastel, qui sont juste FA-MEU-SES !! Je suis ravie parce que l’an dernier, je trouve que les fraises étaient particulièrement « fadasses »… ce qui est très décevant. Cette années, elles sont sucrées, ne sont pas gorgées d’eaux, mais on les déguste avec parcimonie… parce que bon, leur prix,… bon voilà quoi (moi, je suis étudiante)!
Bonne cure de fraises ! 🙂
Merci Béatrice et Liza. Tout dépend peut-être de leur provenance ou de leur variété. Il y a déjà 2 semaines, un chef du Sud-Ouest me disait que les fraises étaient là depuis longtemps (pas étonnant, la température dépassait les 25°). Celles que j’ai mangées étaient de Dordogne. Difficile d’être locavore en matière de fraises quand on habite Paris ! L’important pour moi est qu’elles viennent de France, qu’elles soient « à point », pas trop chères et savoureuses.